Lorsqu’on pense aux marais salants de Guérande, on imagine d’abord les cristaux de sel scintillant au soleil, les gestes précis des paludiers et le goût unique du sel de mer. Mais ces paysages façonnés par l’homme depuis des siècles sont bien plus que de simples lieux de production : ce sont de véritables réserves écologiques, au cœur d’un équilibre fragile entre nature et culture.

Quand on explore les marais salants de Guérande, on est tout de suite frappé par la beauté de ce paysage façonné par l’homme et l’océan. Mais au-delà des bassins miroitants et du ballet des paludiers, une vie végétale discrète mais essentielle prospère sur les talus, les bords de canaux et les zones humides : ce sont les plantes halophiles.

Peu connues du grand public, ces plantes adaptées à l’eau salée jouent pourtant un rôle crucial dans l’écosystème des marais… et parfois jusque dans notre assiette !

Quand on pense aux marais salants de Guérande, on imagine souvent la blancheur éclatante de la Fleur de Sel, les gestes précis des paludiers, et l’océan en toile de fond. Mais sous la surface, un autre trésor joue un rôle clé dans la qualité unique du Sel de Guérande : l’argile des œillets.

En 40 ans, la Mer Morte a perdu un tiers de sa surface en raison du pillage de ses eaux pour l’agriculture intensive et l’industrie. Cette disparition progressive menace les écosystèmes locaux, ainsi que les espèces animales et végétales qui s’y sont adaptées.

Tout commence par une idée.

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